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Le travail du sexe est un travail.

 

Le travail du sexe est un travail.

Pour la défense des droits des travailleuses et travailleurs du sexe.

Voulons-nous l’égalité des genres ? Oui. Nous la voulons pour tout le monde. Et donc aussi pour celles et ceux qui travaillent dans le domaine du sexe. Ces personnes doivent avoir la possibilité de fournir librement des prestations sexuelles contre de l’argent.

Le travail du sexe est une activité légale. C’est ce que veut changer une campagne en cours intitulée « Stop à la prostitution » («Für eine Schweiz ohne Freier. Stopp Prostitution»). Elle demande que l’achat de services sexuels soit puni par la loi. Cela conduira à une situation absurde : les travailleurs et travailleuses du sexe auront le droit de pratiquer leur activité, mais leurs clients s’exposeront à des sanctions pénales.

Cela rendra de fait le travail du sexe illégal. Mais les travailleuses et travailleurs du sexe relégués dans la clandestinité peuvent difficilement se défendre contre l’exploitation et la violence. On perd en outre le contact avec les personnes qui, victimes de traite des êtres humains, se prostituent sous la contrainte.

Il faut protéger la dignité de tous les êtres humains . Cela vaut également pour les personnes qui accomplissent un travail stigmatisé par la société.

L’égalité des chances suppose que tous les êtres humains ont les mêmes droits, y compris les travailleuses et travailleurs du sexe. Ces personnes ont droit, elles aussi, à l’autodétermination et à la liberté économique.

Le travail du sexe n’est pas la même chose que la violence liée au genre et la traite des êtres humains. Si l’achat de services sexuels est interdit, il sera plus difficile de lutter contre la traite des êtres humains et de protéger les victimes de violence.

C’est pourquoi nous disons :

  • Non à la stigmatisation des travailleuses et travailleurs du sexe !
  • Oui à des conditions de travail équitables et librement consenties pour les travailleuses et travailleurs du sexe !
  • Non à la prohibition de l’achat de services sexuels !
  • Oui à une meilleure protection des travailleuses et travailleurs du sexe contre la violence !

264 travailleuses et travailleurs du sexe soutiennent cet appel. Pour des raisons bien compréhensibles, la plupart ont souhaité s’exprimer sous un nom d’emprunt tandis que d’autres ont préféré conserver l’anonymat.

Soutenez l’appel !

  • Organisations et personnes ayant apporté leur soutien

    Organisations suisses
    AIDS-Hilfe Schweiz
    Amnesty International, Schweizer Sektion
    Antenna MayDay, Centro di informazione, consulenza e accompagnamento per persone immigrate con statuto precario o senza statuto
    Aspasie – association de défense et de soutien des travailleuses et travailleurs du sexe
    cfd – die feministische Friedensorganisation
    Corps solidaires, Association Suisse Romande Assistance Sexuelle et Handicaps
    Fachstelle für Gleichstellung der Stadt Zürich
    Fachstelle für Gleichstellung von Frau und Mann des Kantons Zürich
    Fleur de Pavé - association de soutien et d'aide aux travailleuses et travailleurs du sexe en ville de Lausanne et dans le canton de Vaud
    FIZ Fachstelle Frauenhandel und Frauenmigration
    Fondation PROFA, VD
    Förderverein Tantramassage Schweiz
    Frauenzentrale Bern
    Grisélidis, prévention et proximité, Fribourg
    LISA, Luzerner Verein für die Interessen der Sexarbeitenden
    Lysistrada – Fachstelle für Sexarbeit
    Maria Magdalena, Beratungsangebot für Frauen im Sexgewerbe, Kanton St. Gallen
    Medecins du monde, Suisse, Neuchâtel
    Kirchliche Gassenarbeit Bern
    PRO KO RE
    SEXUELLE GESUNDHEIT Schweiz
    SOS Femmes, Genf
    TERRE DES FEMMES Schweiz
    TGNS Transgender Network Switzerland
    Xenia – Fachstelle Sexarbeit
    Zürcher Stadtmission – Isla Victoria

    Organisations internationales
    Acceptess-T, association de défense des personnes transgenres, Paris
    BesD e.V. - Berufsverband erotische & sexuelle Dienstleistungen, Deutschland
    bufas e.V. - Bündnis der Fachberatungsstellen für Sexarbeiterinnen und Sexarbeiter, Deutschland
    Deutsche Aids-Hilfe
    ICRSE International Committee on the rights of sex workers in Europe, Amsterdam
    Rose Alliance, Nordic Alliance for sexworkers’ rights, Schweden
    STRASS Syndicat du Travail Sexuel (France), Paris
    TAMPEP / European Network for the Promotion of Rights and Health among Migrant Sex Workers

    Personnalités politiques
    Timur Akcasayar, Stadtrat Bern, SP
    Ezgi Akyol, Gemeinderätin Stadt Zürich, AL
    Heinz von Arb, Gemeinderat Balsthal, SP
    Angelo Barrile, Nationalrat, SP
    Tom Berger, Stadtrat Bern, FDP
    Marcel Bührig, Gemeinderat Stadt Zürich, Grüne
    Susanne Brunner, Gemeinderätin Stadt Zürich, SVP
    Regula Bühlmann, Stadtratspräsidentin Bern, Grünes Bündnis
    Andrea Caroni, Ständerat, FDP
    Pierre Conscience, Conseiller communal Ensemble à Gauche (Lausanne) et secrétaire de solidaritéS Vaud
    Andreas Daurù, Kantonsrat ZH, SP / Co-Präsident SP Kanton Zürich
    Claudine Esseiva, Stadträtin FDP, Vorstandsmitglied FDP Frauen Kanton Bern
    Yvonne Feri, Nationalrätin, SP
    Luzian Franzini, Co-Präsident Junge Grüne Schweiz
    Astrid Furrer, Kantonsrätin ZH, FDP
    David Garcia, Gemeinderat Stadt Zürich, AL
    Marco Geissbühler, Gemeinderat Stadt Zürich, SP
    Helen Glaser, Gemeinderätin Stadt Zürich, SP
    Balthasar Glättli, Nationalrat, Grüne
    Edi Guggenheim, Gemeinderat Stadt Zürich, AL
    Thomas Hardegger, Nationalrat, SP
    Viviane Hösli, Grossrätin AG, SP
    Nadia Huberson, Gemeinderätin Stadt Zürich, SP
    Claude Janiak, Ständerat, SP
    Matthias Samuel Jauslin, Nationalrat, FDP
    Guy Krähenbühl, Gemeinderat Stadt Zürich, GLP
    Andrea Leitner, Gemeinderätin Stadt Zürich, AL
    Mathias Manz, Gemeinderat Stadt Zürich, SP
    Samira Marti, Präsidentin vpod region basel, Vizepräsidentin SP Baselland
    Sibylle Marti, Kantonsrätin ZH, SP
    Liliane Maury Pasquier, Ständerätin SP
    Mattea Meyer, Nationalrätin SP
    Fabian Molina, Nationalrat, SP
    Katharina Prelicz Huber, Gemeinderätin Stadt Zürich, Grüne, Sprecherin für Gleichstellungsfragen Grüne Schweiz
    Iris Schelbert-Widmer, Stadträtin Olten, Grüne
    Christina Schiller, Gemeinderätin Stadt Zürich, AL
    Meret Schindler, Grossrätin, SP Bern, Vorstandsmitglied SP Frauen Kanton Bern
    Lorenz Schmid, Kantonsrat ZH, CVP
    Marion Schmid, Gemeinderätin Zürich, SP
    Ursula Schneider Schüttel, Nationalrätin, SP
    Priska Seiler Graf, Nationalrätin SP
    Carlo Sommaruga, avocat et conseiller national, PSS
    Kathy Steiner, Kantonsrätin ZH, Grüne
    Esther Straub, Pfarrerin, Kantonsrätin ZH, SP
    Sylvain Thévoz, membre du comité d’Aspasie, député au grand conseil, Genève, PS
    Aline Trede, Nationalrätin Grüne
    Natascha Wey, Co-Präsidentin SP Frauen*
    Cédric Wermuth, Nationalrat, SP
    Felix Wettstein, Kantonsrat Solothurn, Grüne
    Barbara Wiesmann, Gemeinderätin Stadt Zürich, SP
    Adrian Wüthrich, Nationalrat, SP, Präsident Travail.Suisse
    Tonja Zürcher, Co-Präsidentin BastA!, Grossrätin BS

    Personnalités de la société civile et de la culture
    Samuel Antoine, co-directeur Festival Les Urbaines
    Renate von Ballmoos, Pfarrerin Predigerkirche Zürich
    Maritza Le Breton, Professorin Hochschule für Soziale Arbeit FHNW
    Sébastien Chauvin, professeur associé en études genre, Unil (Université de Lausanne)
    Milena Chimienti, professeure HES
    Laurence Favre, réalisatrice
    Svenja Flaßpöhler, Chefredakteurin Philosophie Magazin
    Rebekka Grogg, Pfarrerin
    Thomas Haemmerli, Dokfilmer
    Li Hangartner, feministische Theologin
    Marjan van Harten, Diakonisches Werk Hamburg, Landesverband der Inneren Mission; Referat Migration, Flucht, Interkulturelle Arbeit
    Sebastian "Baschi" Hausmann, Musiker, Ex-Lovebugs, Fucking Beautiful, Metallspürhunde
    Dore Heim, Gewerkschafterin
    Michael Herzig, Dozent ZHAW, ehemaliger Vizedirektor Soziale Einrichtungen und Betriebe der Stadt Zürich
    Josef Hochstrasser, PfarrerAnnette Hug, Schriftstellerin
    Brigitte Hürlimann, Journalistin
    Elisabeth Joris, Historikerin
    Stefan Keller, Historiker und Journalist
    André Kuhn, Professeur de criminologie et de droit pénal, Unine (Université de Neuchâtel)
    Hannes Lindenmeyer, Präsident der Kirchenpflege Zürich-Aussersihl
    Patricia Purtschert, Philosophin und Professorin für Geschlechterforschung
    Patrick de Rahm, directeur d’institution culturelle
    Philipp Sarasin, Historiker, Universität Zürich
    Ueli Schwarzmann, Präsident der Reformierten Kirchenpflege Zürich-Neumünster
    Christoph Sigrist, Pfarrer Grossmünster Zürich
    Marc Spescha, Rechtsanwalt
    Markus Theunert, Geschäftsleitung männer.ch
    Erika Volkmar, médecin et directrice d’organisations médico-sociales
    Laura de Weck, Autorin

    Travailleur.se.s du sexe et leurs allié.e.s.
    Benjamin Abt-Schiemann, Sexarbeiter
    Angela, Sexarbeiterin
    Judith Aregger, Sexualbegleiterin
    Roxane Aubry, responsable de la Consultation, SOS Femmes
    Bia, Sexarbeiterin
    Bonnie, Sexarbeiterin
    Carolina de Monaco, Sexarbeiterin
    Cathy, Sexarbeiterin
    Chema, Sexarbeiterin
    Christina, Sexarbeiterin
    Daniela, Sexarbeiterin
    Delaine Devine
    Denise, Sexarbeiterin
    Diane, ehemalige Sexarbeiterin in Genf
    Domina Sandra, Sexarbeiterin
    Elena, Sexarbeiterin
    Elisa, Sexarbeiterin
    Ella, Sexarbeiterin
    Estrella, Sexarbeiterin
    Fabiola, Sexarbeiterin
    Indira, Sexarbeiterin
    Julia, Sexarbeiterin
    Laika, SW Escort
    Leonie, Sexarbeiterin
    Leydi, Sexarbeiterin
    Licet, Sexarbeiterin
    Lilo Fox, Sexarbeiterin
    Luna, Sexarbeiterin
    Luna Brasil, Sexarbeiterin
    Luz Marina, Sexarbeiterin
    Luzia, Sexarbeiterin
    Mari Carmen, Sexarbeiterin
    Maria, SW
    Mariela, Sexarbeiterin
    Maritza J.
    Mary, Sexarbeiterin
    Mary, Sexarbeiterin
    Alberto Montiel, SW
    Yamada Nakaoko, Sexarbeiterin
    Fitore Mauro, travailleuse sociale, Consultation de SOS Femmes
    Delphine Nakouri, collaboratrice socio-administrative, Consultation de SOS Femmes
    Nazca, Sexarbeiterin
    Paola, Sexarbeiterin
    Paula, Sexarbeiterin
    Lise Piguet, travailleuse sociale, Consultation de SOS Femmes
    Claudette Plumey, Sexarbeiterin seit 60 Jahren
    Silvia Pongelli, directrice de l'association Fleur de Pavé, VD
    Anne-Laure Pulfer Aebi, secrétaire générale, SOS Femmes
    Albert Rodrik, ami et membre du comité d’honneur d’Aspasie
    Rosa, Sexarbeiterin
    Roxana, Sexarbeiterin
    Marianne Schweizer, unterstützt Sexarbeitende seit 22 Jahren
    Sharon, Sexarbeiterin
    Shona, Sexarbeiterin
    Martina Tarla, travailleuse sociale, Consultation de SOS Femmes
    Yamada, Sexarbeiterin
    Yara, SW Escort
    Xoli, Sexarbeiterin
    Olivier Zimmermann, ami d’Aspasie
    Cornelia Zürrer-Ritter, Beratung und Begleitung für SexarbeiterInnen
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin
    anonym, Sexarbeiterin

  • Lire l’appel complet

    Le travail du sexe est un travail. Pour la défense des droits des travailleuses et travailleurs du sexe.

    Voulons-nous l’égalité des genres ? Oui. Nous la voulons pour tout le monde. Et donc aussi pour celles et ceux qui travaillent dans le domaine du sexe. Ces personnes doivent avoir la possibilité de fournir librement des prestations sexuelles contre de l’argent.

    Le travail du sexe est une activité légale. C’est ce que veut changer une campagne en cours intitulée « Stop à la prostitution » («Für eine Schweiz ohne Freier. Stopp Prostitution»). Elle demande que l’achat de services sexuels soit puni par la loi. Cela conduira à une situation absurde : les travailleurs et travailleuses du sexe auront le droit de pratiquer leur activité, mais leurs clients s’exposeront à des sanctions pénales.

    Cela rendra de fait le travail du sexe illégal. Mais les travailleuses et travailleurs du sexe relégués dans la clandestinité peuvent difficilement se défendre contre l’exploitation et la violence. Ils subissent des pressions. Ils ne peuvent plus prendre le temps de choisir leurs clients et sont exposés au chantage. Le client prend un risque et, donc, il attend davantage. Les travailleuses et les travailleurs du sexe n’ont plus la liberté de décider quels services ils proposent et à quel prix. On perd en outre le contact avec les personnes qui, victimes de traite des êtres humains, se prostituent sous la contrainte.

    Il faut protéger la dignité de tous les êtres humains . Cela vaut également pour les personnes qui accomplissent un travail stigmatisé par la société.

    L’égalité des chances suppose que tous les êtres humains ont les mêmes droits, y compris les travailleuses et travailleurs du sexe. Ces personnes ont droit, elles aussi, à l’autodétermination et à la liberté économique.
    Le travail du sexe n’est pas la même chose que la violence liée au genre et la traite des êtres humains. Si l’achat de services sexuels est interdit, il sera plus difficile de lutter contre la traite des êtres humains et de protéger les victimes de violence.

    C’est pourquoi nous disons :

    • Non à la stigmatisation des travailleuses et travailleurs du sexe !
    • Oui à des conditions de travail équitables et librement consenties pour les travailleuses et travailleurs du sexe !
    • Non à la prohibition de l’achat de services sexuels !
    • Oui à une meilleure protection des travailleuses et travailleurs du sexe contre la violence !

    Le modèle suédois = interdiction d’acheter des services sexuels

    La loi suédoise criminalise l’achat de services sexuels alors que leur vente reste légale. Le but est d’opérer un changement de paradigme parmi la clientèle afin d’inciter les travailleuses et travailleurs du sexe à se reconvertir dans un autre secteur économique.

    La loi suédoise part du principe que toutes les formes de prostitution sont une violence faite aux femmes.

    Elle ne fait pas de différence ni de distinction entre le travail sexuel et la traite des femmes à des fins d’exploitation sexuelle.

    Le film « Là où les putains n’existent pas » (2017) montre de manière saisissante comment cela peut se terminer.

    2015 = le Conseil fédéral demande des avis

    La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga s’intéresse de près à la question de la prostitution et de la traite des êtres humains en 2013 et 2014 : elle institue un groupe d’experts et fait réaliser une étude sur la situation dans le commerce du sexe en Suisse. En 2015, elle choisit la voie de la réglementation de la prostitution – choix confirmé dans un rapport parlementaire – car aucune autre solution ne permet d’atteindre le but visé. Le Conseil fédéral a en effet abouti à la conclusion que le modèle suédois, c’est-à-dire l’interdiction d’acheter des services sexuels, n’est pas une mesure efficace pour lutter contre la traite des êtres humains à des fins d’exploitation sexuelle :
    https://www.ejpd.admin.ch/ejpd/de/home/aktuell/news/2015/2015-06-05.html

    Interdiction d’acheter des services sexuels = conséquences dévastatrices pour les travailleuses et travailleurs du sexe

    Toute forme de criminalisation, y compris visant les clients, détériore les conditions de travail des travailleuses et travailleurs du sexe et accroît le risque de violence. Sans compter que la criminalisation ne supprime pas la prostitution.

    L’interdiction d’acheter des services sexuels criminalise indirectement les travailleuses et travailleurs du sexe. Au final, ces personnes :

    • accèdent moins facilement aux centres de consultation et aux offres de santé ;
    • deviennent difficiles à atteindre pour les organisations d’aide ;
    • sont davantage victimes de violence et d’exploitation ;
    • subissent une stigmatisation.

    L’interdiction de l’achat de services sexuels est une vaine tentative de régler le problème de la misogynie dans les rapports de genre sur le dos des travailleuses et travailleurs du sexe.

    Tout le monde doit avoir le droit à l’autodétermination ! Nous exigeons de bonnes conditions de travail pour les travailleuses et les travailleurs du sexe afin qu’ils ne soient pas exposés à la violence. Nous plaidons pour l’égalité du travail du sexe avec les autres activités commerciales.

  • Pour en savoir plus

    Le site Internet FIZ Centre d’assistance aux migrantes et aux victimes de la traite des femmes propose un document de fond et de nombreux téléchargements sur le sujet (en allemand) : Sexarbeit ist Arbeit. Aber keine Arbeit wie jede Andere

    Diskussionspapier Sexarbeit (2014) : Fakten, Positionen und Visionen aus feministischer Perspektive

    Amnesty International: Position zum Thema Sexarbeit
    Position d’Amnesty International relative à l’obligation des Etats de respecter, protéger et mettre en œuvre les droits humains des travailleuses et travailleurs du sexe

    Hélène Le Bail, F, 2018: Que pensent les travailleur.se.s du sexe de la Loi prostitution ? Enquête sur l’impact de la loi du 13 avril 2016 contre le « système prostitutionnel »

    Film «Wo Sexarbeiterinnen keine Rechte haben» / Là où les putains n’existent pas
    F, 2017, 55 Min. Regisseurin: Ovidie

  • Études

    Susanne Dodillet/Petra Östergren, Das schwedische Sexkaufverbot, in: Elisabeth Greif (Hrs.): SexWork(s). verbieten – erlauben – schützen?, Linz 2012 - Englische Fassung: Impact of Swedish law - PDF)

    Médecins du monde, Study on the Impact of the Law from 13 April 2016 against the „Prostitution System“ in France: Study on the Impact of the Law - PDF

    Erotikbetriebe als Einfallstor für Menschenhandel? Eine Studie zu Ausmass und Struktur des Sexarbeitsmarktes in der Schweiz. Lorenz Biberstein, Martin Killias Erotikbetriebe als Einfallstor für Menschenhandel? - PDF

  • Sélection de sujets publiés ou diffusés dans les médias

    Français

    Anti-Trafficking Review, issue 12, 2019, pp. 155-171: "The Problem of Prostitution": Repressive policies in the name of migration control, public order, and women's rights in France "The Problem of Prostitution" - PDF
    Le Temps, 14. décembre 2018 La prostitution: l’interdire ou la reconnaître?
    SAN 3/2018 «Toutes les associations constatent une augmentation des violences» et Sexe tarifé: sanctionner les clients?
    Bon pour la tête, août 2018: Interdire la prostitution - a quoi bon?
    Radio Lac, juillet 2018: La prostitution n’est pas un gros mot
    RTS, le 12h45, juillet 2018: Le débat de fond sur la prostitution reprend en Suisse

    Deutsch

    Anti-Trafficking Review, issue 12, 2019, pp. 155-171: "The Problem of Prostitution": Repressive policies in the name of migration control, public order, and women's rights in France "The Problem of Prostitution" - PDF
    SRF Kultur, Der Philosophische Stammtisch, 4. November 2018: Soll man Sex kaufen dürfen
    SAN 3/2018 «Sämtliche Organisationen stellen eine Zunahme von Gewalttaten fest» und Sexarbeit: Freier bestrafen?
    TalkTäglich, 3. September 2018: Strafen für Freier
    Tages-Anzeiger, 4. August 2018: Prostituierte fürchten sich vor Arbeitsverbot
    St. Galler Tagblatt, 27. Juli 2018: Es braucht Akzeptanz - keine Verbote
    p.s., 12. Juli 2018: Zuhören statt verbieten
    WOZ, 12. Juli 2018: Die Stigmatisierung dauert fort
    Der Bund, 11. Juli 2018: Auch wer sich prostituiert, hat eine Wahl
    Tagblatt der Stadt Zürich, 11. Juli 2018: Zürcher Freiern soll die Lust vergehen
    SRF Tagesschau, 7. Juli 2018: Kritik an Prostitutionsverbot wird laut
    WOZ, 19. September 2013: Ein Verbot schaden den Frauen